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samedi, 27 mai 2006

Ma préférence à moi

Récemment je suis allée à un concert de Julien Clerc. Une décision prise il y a au moins trois mois lors d’un repas bien arrosé chez des potes. Une voiture de 4 nanas, toutes plus ou moins fans de longue date, mais moi plus, puis que je suis la plus vieille. Deux heures de bonheur, de nostalgie revigorante, lui et moi seuls dans mes jumelles, et il m’a fait revivre tous les moments forts de ma vie. C’est ça la chanson populaire, ça nous accompagne et c’est la même force qu’une photo ou un souvenir reraconté. Julien Clerc c’est le premier chanteur dont j’ai eu un 33t et que j’ai aimé tout au long de sa carrière sans jamais renier ce goût. D’autres n’ont fait une apparition qu’à l’adolescence et quand je les écoute aujourd’hui, je me demande bien ce que j’ai pu leur trouver. Ce qui m’a épatée, c’est l’âge du public : des vieux, normal, ils devaient avoir entre 30 et 40 ans en 1968, des presque vieux comme moi, 10 ans en 68, mais plein de jeunes aussi. Alors là, j’ai été scotchée. La minette de 20 ans derrière moi, reconnaissait tous les titres à la deuxième note et connaissait toutes les paroles !!!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bon peut-être pas « souffrir par toi n’est pas souffrir », mais toutes les autres.

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