Quiz n°4

De qui sont ces dessins qui sentent si bon les vacances ?

Quiz n°3

"Depuis des éternités, l'a pas tellement changé, la France !"

Partagez-vous cette opinion ? Avec qui ????

Quiz n° 2

Devinez où je suis partie en vacances !

Mon premier est un métier que j'aurais sûrement trouvé ennuyeux, mais il en faut !

Mon deuxième peut être de Vénus, mais jamais de Mars, enfin, pas à ma connaissance.

On extrait mon troisième.

Je n'aime pas l'idée d'accumuler trop d'exemplaires de mon quatrième.

Mon tout est ce que vous cherchez !

Quiz n°1

L'an dernier aux vacances de Pâques je suis partie. Je me suis dépaysée. Pouvez-vous me dire où, en allant voir ma note du 24 avril 2006 ?

Et ensuite allez boire une bière à ma santé !

Si seulement !

Ah, si le monde pouvait être sauvé comme au cinéma !

Si la réponse à toutes les folies des hommes pouvait être celle donnée dans cet extrait... 

Mais je rêve sans doute :-)

***

Pour ceux qui restent et n'ont pas ma chance.

Je pars en vacances demain. Pour vous occuper et pour rendre à 22 la monnaie de sa pièce, il y aura un quiz par jour. A vous de jouer, d'être le ou la plus rapide. Le calcul des points se fera à mon retour, et je proclamerai le palmarès.

Le temps passe...

Beaucoup de choses s'installent dans la durée, et ce n'est pas toujours un bienfait :

La détention en otage d'Ingrid Betancourt, le campement des SDF le long du canal St Martin, la guerre en Irak...

Pourquoi toujours des effets d'annonce, et aucune solution réellement trouvée ?

Certains répondent avec humour,

mais il est urgent d'en finir !

Si vous n'aimez pas ça, dégoûtez-en les autres !

Je viens de lire qu'à Mexico, pour lutter contre les grossesses précoces des ados , on leur fournit des bébés électroniques pendant quelques jours pour les dégoûter...

On pourrait peut-être fournir des candidats à la présidentielle électroniques aux supporters de certains partis pour leur faire prendre conscience des véritables dangers et de la vie horrible qu'on aurait après !

J'ai tapé le nom d'un potentiel candidat + "robot" et voilà ce que j'ai trouvé.

SOUTIEN

Nous sommes dans une période de censure. C’est pourquoi je voudrais signaler l’initiative sympathique d’un blog de soutien à un dessinateur condamné. Ce n’est pas dans Charlie, ce n’est pas religieux, mais cela touche une profession susceptible.

On en parle ici.

Pourtant l'humour c'est sympa, je ne vois pas ce que ça a de répréhensible.

 

 

 

 

 

 

 

 

Trouvaille de dernière minute :

http://www.russievirtuelle.com/cartes/humour.shtml

Regardez bien la sixième carte ! Elle vaut le détour, et je ne me vexerais pas si on me représentait comme ça !

PS : Ah, j'ai oublié de préciser  que si j'ai fait cette note c'est parce que j'ai eu la nouvelle chez Joye !!!  (mais je pense que tous ceux qui passent ici passent chez elle, non ? ) D'ailleurs je l'ai signalé chez Hervé, de 1001 Vies.

La délectable légèreté du dimanche

Aux Etats Unis, au Nouveau Mexique, on a installé des urinoirs qui parlent ! Ils rappellent à l'ordre les usagers au cas où ils auraient trop bu et leur conseillent de prendre un taxi pour rentrer. Les appareils sont équipés d'un détecteur de mouvements. La brève ne dit pas si le robot se met en route automatiquement ou s'il est sensible à des mouvements particuliers, typiques de l'utilisateur d'urinoir saoûl.

Vous avez pissé à côté ?

Vous me direz trois Pater et deux Ave !

Nouvelle du jour

 Ce que la justice n'a pas su leur donner, la nature l'a fait aujourd'hui, enfin.

 

 

 

 

 

 

 

Flash info

Un prof tenait un blog et est obligé de l'arrêter. Je le lisais régulièrement, et comme je le lui avais déjà dit, je n'étais pas toujours d'accord avec lui, mais il y avait sur son blog de véritables échanges, des discussions argumentées.

Pour voir sa dernière page, c'est ici : http://www.blogprof.fr/

Personnellement je n'ai jamais deviné où se trouve son collège. Ses billets me rappelaient seulement à quel point j'ai de la chance de travailler là où je suis, car dans certains établissements la vie est très difficile.

En quel siècle cette publicité a-t-elle été conçue ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quand je pense que j'ai été obligée de distribuer ça à mes élèves... Ca se trouve dans la brochure nationale Onisep, "Que faire après la classe de seconde ?"

Je dois dire que si j'étais ado et que je voie quelles chaussures on pense que je porte aujourd'hui, et surtout quelles chaussures je devrai porter quand je serai dans le monde du travail, je ferais un autodafé de la brochure, j'enfilerais mes Converse rouges que j'adore, pourtant je suis une fille, c'est grave Docteur ?, et je m'enfuirais loin de tous ces gens du ministère qui ont encore tant de clichés dans la tête !

Comme l'a judicieusement fait remarquer une de mes collègues, il ne manquait plus qu'un prix plus élevé sur la boîte "filles" que sur celle des garçons pour leur faire comprendre bien vite que d'une part elles gagneraient moins que les mecs et d'autre part, c'est bien connu, elles dépensent comme des folles.

Tout cela est financé et commandité par notre gouvernement, qui fait une pub mâle et une pub femelle parce que l'égalité entre les sexes à l'école pour lui, c'est une vue de l'esprit.

UN TORRENT DE C........ !

Je viens de regarder un reportage sur ARTE intitulé "Je suis homo et alors ?" Le thème : l'homosexualité est-elle innée ou acquise ? Aucune réponse définitive n'a été donnée. Mais à la fin du reportage, après avoir rappelé la pratique de la lobotomie dans les années 50 pour guérir de l'homosexualité, le journaliste a fait mention d'un mouvement religieux qui prétend nous guérir... Et ce mouvement, d'après lui est à présent arrivé en France !!! Au secours !!!

cliquez ci-dessus

Je vais très bien, merci. Personnellement je pense que de manière innée rien ne nous est impossible, mais que ce qui est acquis, ce sont les tabous qui nous empêchent de profiter de toutes les opportunités. J'ai aimé des hommes et des femmes, avec autant de bonheur, puis de malheur parfois. Quand je suis amoureuse, passionnément, je refuse de m'arrêter au fait que la personne qui m'est essentielle soit un homme ou une femme. J'aime une personne. Bon, d'accord, j'ai une légère préférence... Mais pas vous ?

LA PEUR N'EVITE PAS LE DANGER

Mes visiteurs et commentateurs ont réagi et donné leur opinion. Quand ils arrivent Gare du Nord et qu'ils doivent entrer dans la gare encadrés par une haie de policiers armés, prêts à bondir....

7.4 % se disent "Chouette ! dans ce pays on est drôlement bien protégé." Je compatis avec leur peur permanente de l'agression en tout genre, et leur offre ceci :

14.81 % se disent "Ils sont hyper vigilants avec leurs genoux fléchis et leurs regards bienveillant. D'ailleurs je vais leur demander l'heure." Je pense que ceux-ci sont trop sensibles au charme de l'uniforme et des muscles, ou bien ils ont besoin de lunettes.... ou d'une montre ? Je leur offre donc :

Alors, toujours sous le charme ???

40.74 % se disent "Pourvu que je ne me prenne pas une balle perdue. " A ceux-là, je dis, allons, soyez raisonnables ! Ils sont super entraînés les gaillards. Y'a pas de bavures en France. M'enfin ! Vous préféreriez qu'ils aient des couteaux ???

25.92 % se disent "J'ai peur, j'aimerais mieux qu'ils ne soient pas là."

Allez en Grande-Bretagne, ils ont quand même l'air plus sympa !

  

11.11 % se disent "Ca y est, ils vont m'arrêter et sûrement trouver quelque chose à me reprocher. Là, je reconnais bien les anars et les contestataires qui fréquentent mon blog...

Pas de problème ! Même lui n'y est pas allé... en prison.

CONCLUSION : 77.77 % des votants n'ont pas confiance dans la police française. Il fait quoi, déjà, le petit candidat pas beau, mais qu'on entend partout ????

DAS LEBEN DER ANDEREN

     Mardi au lycée, il y avait branle-bas de combat chez les profs d’allemand. « Ouais ! y’a un film allemand en VO ! Alors t’emmènes combien d’élèves ? Oui, mais c’est au G......, pas au Zartsetessais ! Pourquoi ils font ça, d’habitude y’a jamais de VO. Ca va être plus cher, et puis je veux pas leur donner de fric. » Enfin, véritable cas de conscience chez les profs qui essaient de favoriser le pot de terre par rapport au pot de fer. Je rentre chez moi. Chez Pascale un article m’explique de quel film il s’agit. Je dois y aller. Ce que j’ai fait hier soir, emportant avec moi force mouchoirs en papier, et pas seulement pour pleurer ! La place est à plus de neuf euros, alors que les sièges sont aussi pourris que dans mon cinéma préféré. Il y a beaucoup de monde, mais les deux dames à côté de moi, s’excusent et laissent deux places entre nous… La séance a commencé très en retard, mais tous les gens bien élevés, amoureux du bon cinéma, présents dans la salle ne râlent même pas !

     Et puis j’ai plongé dans ce film qui se passe en 1984, à Berlin, dans un milieu intellectuel et artistique, mais décrit du point de vue d’un agent de la STASI. L ’année, n’est certainement pas un hasard, car l’atmosphère est Orwellienne avec sa grisaille, son austérité, sa dureté, et au milieu, un couple lumineux rien que par l’amour qu’il dégage. Et c’est cet amour qui sera la prise de conscience. Je n’en dis pas plus sur le scénar.

      Ce film m’a particulièrement touchée parce qu’en 1974, puis en 1982, je suis allée en RDA . La première fois dans une Jugendherberge, j’ai rencontré une jeune allemande qui m’a écrit inlassablement pendant huit ans, sans jamais rien me demander, mais comme si ce lien était vital pour elle. D’autres avaient pris mon adresse, mais ne pensaient qu’aux jeans, aux parfums, etc que je pourrais leur envoyer. En 1982, j’y suis retournée. J'avais 24 ans, étudiante, voyageant partout, tout le temps, célibataire, féministe, baba cool encore un peu. M. , 22 ans, était mariée à G. 25 ans, et ils avaient un petit garçon de 4 ans. Tous les deux un travail, pas de voiture, pas de téléphone, un appartement petit mais confortable, meubles en formica, mais déco chaleureuse. Au « supermarché », il fallait acheter dès qu’on apercevait quelque chose qui pourrait servir, et ne choisir une recette qu’après, en fonction de ce qu’on avait trouvé en deux ou trois jours de shopping. Ils avaient de tout, mais plus cher, et pas toujours je jour où ils en avaient besoin. Ils ne parlaient pas politique, mais la grand-mère a pleuré en me disant merci d’être venue. Je ne pense pas qu’il y ait eu des micros, mais des années plus tard, ils ont appris que Herr P. qui était le seul de l’immeuble à avoir le téléphone, et qui laissait gentiment ses voisins s’en servir, était un informateur de la STASI. La vie semblait plutôt heureuse pour mes amis. Ils avaient plein de copains. Leurs parents vivaient dans la même ville, mais pas le frère de G. dont j’ai appris plus tard qu’il avait fait un peu de prison pour activités liées au pacifisme et peut-être à cause de sa religion catholique déclarée. Pour partir cette année là, j’avais eu besoin d’une invitation officielle de M. et G. pour obtenir un visa d’entrée. Le visa de sortie, on nous le donnait après que l’on se soit rendu à la police dans un délai de 48 h après notre arrivée. On entrait dans un petit sas sans aucune indication ni déco, sauf une fente, genre boîte aux lettres, surmontée du mot : Passeports, avec une flèche. Je suis restée, accompagnée de G., sans passeport pendant un quart d’heure, puis ai été invitée à rentrer dans un bureau. Là des policiers m’ont demandé la raison de ma visite, et le lien de parenté avec mes hôtes : aucun. Surprise, incrédulité, mais finalement convaincus par G., des regards plutôt sympathiques. Il faut dire qu’à l’époque les familles de l’ouest ne venaient pas souvent, alors qu’une « étrangère » se déplace !!! Une fois en possession de mon visa de sortie pour dix jours plus tard, j’ai eu une pensée pour ma mère qui avait pleuré en voyant que rien ne parlait de sortie sur mon passeport… A l’aller comme au retour, dans le train, les policiers et les militaires armés de mitraillettes ont fouillé chaque wagon, chaque compartiment, accompagnés de chiens et soulevant les plaques des plafonds de leurs armes. Mais au cours de ce séjour, il y a eu aussi une fête de mariage, tellement sympa, des repas au restau, pas grande cuisine, mais pas cher, la piscine ouverte 24 h sur 24, les soirées entre potes chez mes amis, les balades en pleine nuit sans risque… Le film occulte le côté lumineux qui existaient chez les RDAïens, dès qu’on les laissaient entre eux, chez eux. Et aujourd’hui encore il y a une différence de mentalité entre l’est et l’ouest, qui j’espère ne disparaitra pas complètement.

     En tous cas allez voir ce film, ce qu’on y voit existait aussi.

Mon état ...

Ca fait trois jours que ça dure ! Je ne dors plus, je ne respire plus et la corbeille de ma salle de classe était pleine au bout de trois heures !

Cinq infos totalement inédites

Que les réfractaires aux questionnaires et jeux divers sur le net ne s'attardent pas sur mon blog aujourd'hui ! So est devenue une fidèle, et m'a demandé de faire ici cinq révélations. Je m'exécute. S'il-vous-plait, ne m'exécutez pas. 

1. A 14 ans, je voulais être hôtesse de l'air ou prof de maths...!

 

 

 

 

 

2. Un jour, il y a très longtemps, j'ai volé une bague dans un magasin en Bretagne où j'étais en vacances. A peine sortie, je l'ai cassée. Et pourtant même depuis, je ne crois pas à la punition divine. 

3. J'ai quelquepart une cicatrice longue de 22 cm.

4. J'ai joué au basket de l'âge de 10 ans à l'âge de 37 ans. J'étais pas super bonne, mais l'ambiance sport d'équipe me plaisait bien. (oui, je sais l'esprit d'équipe, ça veut dire pour une équipe, y'a un esprit...)

5. Un jour un inconnu m'a offert des fleurs, alors que je lisais seule à la terrasse d'un café. Bon, d'accord, ce n'était pas hier !

Voilà, est-ce que cela vous sert à mieux me connaître ? J'en doute. Est-ce pour me connaître que vous lisez mon blog ? Cela vous regarde.

Adorable inclassable

J'ai passé la journée d'hier à Paris avec une petite fille de onze ans, adorable et ayant pourtant montré dans la petite enfance tous les symptômes de la future délinquante, voire même de la reconduite à la frontière... 4 premières années dans un orphelinat, origines sans aucun doute tziganes, colères multiples, redoublement d'une classe en primaire, et langue française apprise tardivement. Aujourd'hui, elle tient la porte aux gens dans le métro et les musées laissant passer non seulement la, mais les, personnes qui la suivent et qui en restent interloquées ; parle gentiment et sans gros mots, mais ajoute "va-z-y" au début de ses phrases :-) (Si ce n'est pas de l'intégration, ça !), s'étonne qu'il y ait des tentes près de Beaubourg en cette saison et semble concernée par mes explications, me dit "c'est bien Paris, y'a plein de musées !", fait des tonnes de croquis de tout ce qu'elle voit et l'intéresse, s'extasie sur Matisse, Delaunay et Soutine au musée d'Art Moderne, et s'achète une BD de Ducobu en souvenir ; n'arrive pas à se rappeler du mot "métro", mais trouve que dans ses couloirs il y a vraiment beaucoup de pubs et me pose des questions sur ce que fait le colleur d'affiches justement en action. Et dans le train du retour, écrit un poème aux vers de huit pieds à ses parents pour leur raconter sa journée.

 

 

 

 

 

 

Et quand je lui parle d'une amie à moi qui est funambule professionnelle, elle s'étonne :"Ah bon, on peut avoir comme métier de marcher en dormant !" Alors j'ai tout de suite vu le bénéfice que pourraient tirer les patrons à faire travailler de nuit, pendant qu'ils dorment, leurs employés. Ils ne se plaindraient pas, travailleraient le double de temps et ne s'en rendraient même pas compte !

IL Y A ENCORE DES GENS SENSES ;-)

Aujourd'hui, le Comité d'Ethique s'est prononcé contre le rapport d'expertise de l'INSERM, sur lequel le nabot s'appuyait pour défendre l'instauration d'un"carnet du développement de l'enfant" qui le suivrait "de sa naissance à sa vie adulte". Cela m'avait frémir dès que j'en avais entendu parler et j'avais bien sûr signé la pétition s'y opposant.

Si un tel dépistage avait eu lieu entre ma naissance et mes trois ans, voici ce que cela aurait donné :

Encore une rêveuse qui n'aura que des idées utopistes et dangereuses plus tard !!!

Regardez la tête qu'elle fait en regardant ses copains s'embrasser ! Cela n'augure rien de bon, elle finira sûrement déviante et invertie.

De la graine de fonctionnaire feignante qui encombrera l'Education Nationale !

Avec un comportement comme celui-ci, autant l'arrêter tout de suite avant qu'elle ne lance des cocktails molotov dans les manifs !

Et nos "penseurs" de l'Uhaimepé m'auraient tout de suite envoyée séjourner quelques temps dans un centre de rééducation pour pré-délinquants.

WANTED

Près d'une des écoles samedi, il y avait un panneau d'affichage. Des pubs pour des concerts, pour des produits branchouilles pour les djeunz, des annonces perso... Et au milieu, une photo. Rien d'écrit, pas de titre, no comment !

Alors j'ai une question à vous poser : Le connaissez-vous ? Savez-vous ce qu'il veut ? Est-ce un inconnu, ou un candidat à la Staraque ? Quelqu'un dont tout le monde connait le nom sauf moi ???

Please ! Help me..................

Désolée, mais il n'y aura certainement pas de réponses à vos commentaires avant mardi. D'ici là, réfléchissez bien !

Ludique, mais pas "ludicrous" !

C'EST DIMANCHE, ON JOUE !

QU'EST-CE QUE C'EST ??????

MERVEILLES

Vous voulez en voir des merveilles ? Là, c'est trop tard. Mais pendant deux jours c'était les Journées Portes Ouvertes des Ecoles d'Arts Appliqués à Paris. J'y suis allée et j'en ai pris plein les yeux. J'aurais adoré vous en faire profiter : broderie, stylisme, céramique, sculpture, illustration, imprimerie, édition, et j'en passe. Mais quand j'ai sorti mon appareil, une dame m'a rappelée à l'ordre : Pas de photos !!!  Et je les comprends. Pas envie de se faire piquer leurs idées ces petits jeunes débordant d'imagination. Alors pour illustrer mon propos j'ai pris des photos de leurs oeuvres... dans les toilettes.

Etudiants en Arts Appliqués ! Si vous reconnaissez une de vos oeuvres, contactez-moi !

 

 

 

 

Un enfant disparait, un homme meurt.

"Principe selon lequel, en matière pénale, toute personne poursuivie et soupçonnée d'avoir commis une infraction est considérée comme innocente des faits qui lui sont reprochés tant qu'elle n'a pas été déclarée coupable par la juridiction compétente pour la juger."

L'a-t-on pris en compte ce principe lors de la garde à vue ?

"Pour les nécessités d'une enquête, un officier de police judiciaire peut retenir une personne dans les locaux du commissariat ou de la gendarmerie pendant 24 heures maximum, si elle est suspectée d'avoir commis un crime ou un délit. Le procureur de la République doit en être informé. Il peut autoriser la prolongation de la garde à vue pour un nouveau délai de 24 heures maximum. La garde à vue est strictement réglementée par la loi et son exécution est surveillée par les magistrats du parquet. La personne gardée à vue dispose de droits comme le droit au silence, le droit de faire prévenir sa famille ou de s'entretenir avec un avocat dès la 1ère heure de garde à vue (loi du 15 juin 2000). Pour certaines infractions (terrorisme, trafic de stupéfiants), la garde à vue peut durer au total 4 jours."

http://www.vie-publique.fr

Et tout ce qui se dit dans les media sur une personne en garde à vue, est-ce réglementé ? Peut-on relâcher quelqu'un après une garde à vue sans aucune protection psychologique ?

Encore un fait-divers d'où la police et la justice, la télévision, la radio et la presse françaises ne sortent pas glorieuses.

Une femme a tout perdu ce soir, et j'ai une pensée pour elle.