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mercredi, 04 juillet 2007

Daddy-Long-Legs

Le titre français est "Papa Faucheux". Personne n'a voté pour ce livre et ça me donne envie de vous en parler. Je l'ai emprunté quand j'avais une dizaine d'années à la bibliothèque municipale. Mais aujourd'hui je le possède parce que je l'ai déniché dans une brocante. Ca ne doit pas être la version que j'ai lue il y a longtemps parce que je me souviens d'illustrations qui ne sont pas dans mon exemplaire. Celui-ci est publié chez Hachette, couverture verte, lettres rouge-brun, imprimé en 1947 par Brodard & Taupin (même le nom de l'imprimeur "sonne" d'époque !) et le copyright date de 1925.

L'auteur est Jean Webster. La première phrase : "Le premier mercredi de chaque mois était une journée abominable, une journée attendue avec effroi, endurée avec courage, et oubliée aussitôt." La dernière : "N'est-il pas drôle que j'aie su m'en tirer ?"

C'était une histoire d'orpheline, avec un personnage mystérieux dont on essayait tout au long de ce roman épistolaire (le premier du genre que j'aie jamais lu.) de deviner qui il était. Je ne sais pas si vous étiez comme moi, mais j'adorais les romans dans lesquels les héros et héroïnes (surtout !) étaient proportionnellement aussi malheureux et malchanceux que mon enfance était cotonnée et heureuse.

Sur le web j'ai trouvé un site sur lequel on dit que ce le livre est libre de droits aux USA et peut être téléchargé. J'aurais besoin à ce sujet de vos lumières. A la lecture de cette page : http://www.gutenberg.org/etext/157 diriez-vous que c'est légal pour moi, française, de la télécharger, et ce que je dois faire exactement. Car je ne comprends pas grand chose au tableau en bas de la page. J'aimerais bien avoir le texte en anglais, car évidemment à 10 ans, je l'ai lu en français !

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Ce livre a été traduit dans de nombreux pays. En français le titre plus récent est "Papa Longues Jambes"... Avait-on peur que la nouvelle génération ne sache pas ce qu'est un faucheux ?

En lisant sa biographie, je viens d'apprendre que Jean Webster n'était autre que la nièce de Mark Twain ! Elle aurait 131 ans aujourd'hui, mais malheureusement pour elle, elle est décédée à l'âge de 39 ans, peu après la naissance de sa fille, qui, ironie du sort, fut donc orpheline très tôt... Je me demande si le livre de sa maman l'a aidée plus tard ?

mardi, 05 juin 2007

CLARIKA

Juste envie de vous parler de Clarika. Sa voix douce et fluette qui taille des costards sans ménagement. Son humour. Elle m'a fait rire un jour où mes larmes coulaient parce que celui que j'aimais à l'époque me quittait. Elle m'a émue dans cet Olympia où elle osait faire la première partie de Michel Jonasz. Son "tube" Les Garçons dans les vestiaires devait illustrer ma note sur l'éducation hétéro ratée, mais radio-blog a fait des caprices. Alors je vous l'offre aujourd'hui.

Laissez vous charmer. Ecoutez ce titre plus un autre à droite. Et si elle passe par chez vous, allez la voir !

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dimanche, 20 mai 2007

RICHE IDEE !

... Comme disait ma grand-mère !

Oui, et la connaissant, elle aurait aimé la soirée d'hier. Tranquillou, à 21 heures, on part en ville. C'est calme, pas de voitures, mais des gens à pied, flâneurs à la recherche du beau. Et on l'a trouvé au Musée, toutes générations confondues, en admiration devant des oeuvres de tous temps. Et au milieu de tous ces témoignages du passé, des oeuvres vidéo contemporaines présentées par les étudiants de l'école d'art locale. En repartant un peu après 23 heures, je me sentais tranquille, et ravie. J'ai cherché sur internet des infos sur des peintres dont pour une fois j'avais eu le temps d'écrire le nom. Certains semblent peu connus et pourtant ils m'ont émerveillée. medium_la-nuit-des-galeries-attire.jpgOui, vraiment c'est une bonne idée l'art la nuit. Je l'avais déjà ressenti ce plaisir lors de la Nuit Blanche à Paris (avec Agla :-)). Tout le monde est plus disponible et serein. En plus, ils ont été hyper cools dans mon musée : pas de guide, sauf si on en réclamait un, un jeu sympa pour les petits, qui nous a bien occupées, même si on n'est plus très petites, et personne ne râlait, pas une réflexion sur mon petit sac à dos (au Petit Palais, j'avais dû faire la queue pour le laisser au vestiaire), des sourires et un cadeau à la sortie...

A recomm' !

A la réflexion, ma grand-mère aurait sans doute préféré un carré de chocolat noir au livre qu'on nous a donné. ;-)

11:30 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (21) | Tags : super la vie, art, liberté

jeudi, 05 avril 2007

LES ESSENTIELS

Samedi matin très tôt je pars à Londres. Je fais découvrir à ma petite copine de 11 ans, celle avec qui j'ai traîné dans Paris un mercredi. Cette fois je lui ferai découvrir la capitale du pays dont elle va étudier la langue barbare à la rentrée ! Voici ce qu'elle veut absolument voir :

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Il me semble que Harry a mal pris son élan et que Ron a oublié son cabas !

22:50 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : vive la vie, tourisme

mardi, 20 mars 2007

LIRE OU BLOGGER IL FAUT CHOISIR

Bilan de vos habitudes de lecture :

 

Seulement 5% sont esthètes et ont de jolies bibliothèques dont le contenu est en harmonie avec le papier peint.

 

20 % vivent sur une autre planète où on a des journées de 48 h et où on ne travaille que deux heures par jour. De ce fait, ils ont donc le temps de lire tous leurs livres au fur et à mesure.

 

20% prennent de l’âge et s’endorment à la troisième page, même pas sûre qu’ils aient le temps d’éteindre la lumière. Et les économies d’énergie, alors !!!

 

15 % ont plus grands yeux que grand ventre, et n’auront pas assez d’une vie pour lire tous les livres qu’on leur offre ou qu’ils s’achètent. C’est pas grave, ils font au moins vivre les auteurs et les éditeurs.

 

40 % sont accros aux blogs et feraient mieux de garder un peu de temps pour lire de vrais textes plutôt que de traîner ici…

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20:00 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (31) | Tags : VIVE LA VIE

dimanche, 04 mars 2007

A ne manquer sous aucun prétexte !

Les vacances c'est fait pour lire. Et la semaine dernière j'en ai bien profité ! Je voudrais juste, suite à cette cure de lectures diverses, vous conseiller une BD. Non pas pour son dessin, quoiqu'il soit très évocateur et pertinent, ni pour son humour, même si j'ai souri bien des fois, mais pour son contenu informatif. Cette BD remet en place des évènements, des faits, des paroles prononcées et que l'on a pu oublier car en 1975 on était encore jeune ou pas né. Et puis l'actu va tellement vite, que même pour des années plus récentes notre mémoire a besoin d'être rafraîchie.

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Philippe Cohen, Richard Malka, Riss - Vents d'ouest- Fayard
Après ça vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas.
PS / L'actu va tellement vite que depuis la publication de cette BD, Enrico Macias, contrairement à ce que disent les auteurs, n'a pas résisté et a rejoint les bras du "héros".

samedi, 10 février 2007

DAS LEBEN DER ANDEREN

     Mardi au lycée, il y avait branle-bas de combat chez les profs d’allemand. « Ouais ! y’a un film allemand en VO ! Alors t’emmènes combien d’élèves ? Oui, mais c’est au G......, pas au Zartsetessais ! Pourquoi ils font ça, d’habitude y’a jamais de VO. Ca va être plus cher, et puis je veux pas leur donner de fric. » Enfin, véritable cas de conscience chez les profs qui essaient de favoriser le pot de terre par rapport au pot de fer. Je rentre chez moi. Chez Pascale un article m’explique de quel film il s’agit. Je dois y aller. Ce que j’ai fait hier soir, emportant avec moi force mouchoirs en papier, et pas seulement pour pleurer ! La place est à plus de neuf euros, alors que les sièges sont aussi pourris que dans mon cinéma préféré. Il y a beaucoup de monde, mais les deux dames à côté de moi, s’excusent et laissent deux places entre nous… La séance a commencé très en retard, mais tous les gens bien élevés, amoureux du bon cinéma, présents dans la salle ne râlent même pas !

     Et puis j’ai plongé dans ce film qui se passe en 1984, à Berlin, dans un milieu intellectuel et artistique, mais décrit du point de vue d’un agent de la STASI. L ’année, n’est certainement pas un hasard, car l’atmosphère est Orwellienne avec sa grisaille, son austérité, sa dureté, et au milieu, un couple lumineux rien que par l’amour qu’il dégage. Et c’est cet amour qui sera la prise de conscience. Je n’en dis pas plus sur le scénar.

      Ce film m’a particulièrement touchée parce qu’en 1974, puis en 1982, je suis allée en RDA . La première fois dans une Jugendherberge, j’ai rencontré une jeune allemande qui m’a écrit inlassablement pendant huit ans, sans jamais rien me demander, mais comme si ce lien était vital pour elle. D’autres avaient pris mon adresse, mais ne pensaient qu’aux jeans, aux parfums, etc que je pourrais leur envoyer. En 1982, j’y suis retournée. J'avais 24 ans, étudiante, voyageant partout, tout le temps, célibataire, féministe, baba cool encore un peu. M. , 22 ans, était mariée à G. 25 ans, et ils avaient un petit garçon de 4 ans. Tous les deux un travail, pas de voiture, pas de téléphone, un appartement petit mais confortable, meubles en formica, mais déco chaleureuse. Au « supermarché », il fallait acheter dès qu’on apercevait quelque chose qui pourrait servir, et ne choisir une recette qu’après, en fonction de ce qu’on avait trouvé en deux ou trois jours de shopping. Ils avaient de tout, mais plus cher, et pas toujours je jour où ils en avaient besoin. Ils ne parlaient pas politique, mais la grand-mère a pleuré en me disant merci d’être venue. Je ne pense pas qu’il y ait eu des micros, mais des années plus tard, ils ont appris que Herr P. qui était le seul de l’immeuble à avoir le téléphone, et qui laissait gentiment ses voisins s’en servir, était un informateur de la STASI. La vie semblait plutôt heureuse pour mes amis. Ils avaient plein de copains. Leurs parents vivaient dans la même ville, mais pas le frère de G. dont j’ai appris plus tard qu’il avait fait un peu de prison pour activités liées au pacifisme et peut-être à cause de sa religion catholique déclarée. Pour partir cette année là, j’avais eu besoin d’une invitation officielle de M. et G. pour obtenir un visa d’entrée. Le visa de sortie, on nous le donnait après que l’on se soit rendu à la police dans un délai de 48 h après notre arrivée. On entrait dans un petit sas sans aucune indication ni déco, sauf une fente, genre boîte aux lettres, surmontée du mot : Passeports, avec une flèche. Je suis restée, accompagnée de G., sans passeport pendant un quart d’heure, puis ai été invitée à rentrer dans un bureau. Là des policiers m’ont demandé la raison de ma visite, et le lien de parenté avec mes hôtes : aucun. Surprise, incrédulité, mais finalement convaincus par G., des regards plutôt sympathiques. Il faut dire qu’à l’époque les familles de l’ouest ne venaient pas souvent, alors qu’une « étrangère » se déplace !!! Une fois en possession de mon visa de sortie pour dix jours plus tard, j’ai eu une pensée pour ma mère qui avait pleuré en voyant que rien ne parlait de sortie sur mon passeport… A l’aller comme au retour, dans le train, les policiers et les militaires armés de mitraillettes ont fouillé chaque wagon, chaque compartiment, accompagnés de chiens et soulevant les plaques des plafonds de leurs armes. Mais au cours de ce séjour, il y a eu aussi une fête de mariage, tellement sympa, des repas au restau, pas grande cuisine, mais pas cher, la piscine ouverte 24 h sur 24, les soirées entre potes chez mes amis, les balades en pleine nuit sans risque… Le film occulte le côté lumineux qui existaient chez les RDAïens, dès qu’on les laissaient entre eux, chez eux. Et aujourd’hui encore il y a une différence de mentalité entre l’est et l’ouest, qui j’espère ne disparaitra pas complètement.

     En tous cas allez voir ce film, ce qu’on y voit existait aussi.

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08:35 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (16) | Tags : films, Allemagne, mur

samedi, 03 février 2007

MERVEILLES

Vous voulez en voir des merveilles ? Là, c'est trop tard. Mais pendant deux jours c'était les Journées Portes Ouvertes des Ecoles d'Arts Appliqués à Paris. J'y suis allée et j'en ai pris plein les yeux. J'aurais adoré vous en faire profiter : broderie, stylisme, céramique, sculpture, illustration, imprimerie, édition, et j'en passe. Mais quand j'ai sorti mon appareil, une dame m'a rappelée à l'ordre : Pas de photos !!!  Et je les comprends. Pas envie de se faire piquer leurs idées ces petits jeunes débordant d'imagination. Alors pour illustrer mon propos j'ai pris des photos de leurs oeuvres... dans les toilettes.

Etudiants en Arts Appliqués ! Si vous reconnaissez une de vos oeuvres, contactez-moi !

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22:20 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (12) | Tags : enseignement, art, études

vendredi, 12 janvier 2007

ED ECOUTE.

A la demande unanime du Petit arbre déjà très petit, je vous donne des nouvelles et des informations sur le CUDLC, autrement dit "le Collectif Unifié de la Crécelle".

Ils se définissent eux-mêmes comme un groupe d'"instrumentaux dépressifs". Voici un petit résumé trouvé sur Jamendo, et laissant bien deviner l'ambiance dégagée par ce groupe :

"Le Collectif Unifié de la Crécelle est l'oeuvre d'un seul homme, Philippe Grédisset. La musique est exclusivement instrumentale, jouée sur des instruments divers et variés (guitare, piano, guimbarde, maracas, mélodica etc.)

Les styles abordés sont variés: tango, valse, rumba, mais le côté déglingué de la musique permet de la distinguer aisément de celle produite par des personnes telles que André Verchuren ou Yvette Horner.

Les morceaux, dans leur ensemble, possédent un caractère dépressif assez marqué. Aussi leur écoute est-elle déconseillée aux personnes sous antidépresseurs, anxiolitiques etc."

Si vous voulez les écouter, allez sur cette page : http://www.jamendo.com/fr/album/412/ , et comme c'est gratuit, vous pouvez même faire un don.

A part ça, mes recherches m'ont appris que Philippe Grédisset avait un jour possédé un blog, malheureusement terminé en avril 2006, mais on peut encore le consulter ! Ne vous en privez pas.

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Il a également publié un livre sur " L’AQUOIBONISME OU LA PETITE DÉPRESSION LARVAIRE COMME HYGIÈNE DE VIE ". C'est certainement un homme de ressources et d'humour et le net regorge de renseignements à son propos, que vous vous ferez un plaisir de découvrir vous-même.

mercredi, 10 janvier 2007

La petite paire de Josette

Il ne m'arrive pas grand chose en ce moment, alors j'ai eu le temps de me souvenir, de chercher sur le web, et je vous ai à nouveau dégotté un truc que j'écoutais à 20 ans. C'est un truc que je croyais oublié pour toujours, mais la magie d'internet, c'est que rien ne se perd !

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Cliquez sur la photo et écoutez !

Je ne sais pas ce qu'on avait consommé quand on se fendait la poire en chantant ça à tue-tête avec V. mon inséparable, et aujourd'hui, vous allez encore penser que je n'écoute que des trucs ringards. Mais ça me fait encore énormément rire. Et comment a-t-on fait pour laisser dans l'ombre un tel génie ? Si Denis Wetterwald avait eu internet à l'époque, il se serait fait connaître. C'est V. qui avait son 33 tours, donc je ne me souviens plus vraiment du physique de la star, mais sûrement un peu plus jeune que sur la photo.

Bon apparemment, il chante encore et est fort apprécié. Si c'est votre job, envoyez lui un contrat ! Je serai votre première spectatrice. http://www.culture-commune.org/Spectacles-en-Stock/animat... Pour les détails, cliquez sur ce lien.

22:58 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (20) | Tags : chanson, trésors

mercredi, 03 janvier 2007

Ü

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Une seule lettre, c'est son nom ! Enfin, son nom de scène. Son vrai nom, il y a peu de temps que je le connais, c'est Travis Bürki. Je ne l'ai jamais vu sur scène. C'est idiot, il a donné une série de 25 concerts en septembre/octobre à l'Espace Jemmapes, et j'ai trouvé sa carte postale de pub quand c'était fini. C'est tout moi, ça !

Il a donc un pseudo d'une seule lettre et pourtant ses genres musicaux sont illimités. Il fait rire, émeut, joue sur les mots, la musique, la voix, l'ambiance. On est surpris à chaque morceau.

Pour vous donner un aperçu (si je peux m'exprimer ainsi pour de la musique), voici une chanson que je découvre en même temps que vous sur Youtioube. Si vous avez cliqué sur mon humeur musicale précédente, vous avez aussi entendu "les Papillons".

http://www.youtube.com/watch?v=vMroQp3hRSQ

Les petits chanceux sont ceux qui habitent à Toulouse, car il y passera trois jours en mars. C'est dit sur son site. Pour y aller, cliquer sur sa photo !

16:22 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : Musique, génial, chanteurs

samedi, 30 décembre 2006

Joindre le futile à l'agréable...

Ca doit être l'effet "vacances", les cadeaux, les retrouvailles, les préparatifs intensifs, les sketches à mourir de rire sur les DVD du Père Noël, en tous cas je m'aperçois que depuis quelques notes je suis d'humeur futile. En tous cas beaucoup plus que mes relations bloguesques.

Et aujourd'hui je vais continuer en vous parlant d'un cadeau qui m'a fait immensément plaisir. C'est un coffret de DVDs, une collection intégrale, que je vais déguster, petit à petit tout au long de l'année 2007. En anglais, enfin ! Oui parce que nos chaînes de télé s'obstinent à ne jamais passer les séries en VO (Voir le sketches de Florence Foresti pour savoir pourquoi !). L'héroïne de cette série, c'est tout moi, enfin non, mais je suis sûre que tout le monde, enfin toutes les femmes, y ont retrouvé une facette de leur expérience à un moment ou à un autre. Si elles disent que non, c'est qu'elles ont loupé des épisodes ou qu'elles ne veulent pas regarder qui elles sont vraiment. Physiquement, je me suis moins reconnue... En revanche elle me fait penser à Emy. Enfin, c'est comme ça que j'imagine Emy. D'ailleurs je suis sûre qu'elle aurait peur de moi aussi, Ally Mac Beal !

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Je n'en suis encore qu'aux premiers épisodes, mais j'attends avec impatience l'arrivée de Lucy Liu. Je l'adore !

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mercredi, 20 décembre 2006

Enchantement

Envie de vous parler d'un spectacle qui m'a fait voyager il y a quelques temps. Poésie, rebondissements (c'est adapté quand on parle de funambules acrobates), esthétiquement merveilleux.

Ils s'appellent Les Colporteurs. S'ils passent par chez vous, n'oubliez pas d'aller les voir !

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Leur spectacle, Un Fil Sur La Neige, leur a été inspiré par le livre Neige de Maxence Fermine. Un autre moment de bonheur, et mis en scène par un ancien funambule à qui la vie a interdit brutalement de se déplacer dorénavant sur le fil, mais qui a retrouvé un but à son voyage sur terre.

mercredi, 13 décembre 2006

Rareté à ne pas manquer

J'allais sortir, profiter de la grisaille et de l'humidité. J'ai jeté un coup d'oeil à ma boîte aux lettres. Et il y avait une surprise ! Oui, je sais j'ai cliqué il y a quelques jours chez A-ma-zone-point-comme, mais j'avais quasi oublié. Alors tant pis, je retarde ma promenade, et mes courses, et je goûte, je déguste. Fabienne Pralon. Connue par hasard lors d'un concert dans ma ville, parcequ'il me fallait cinq spectacles pour un abonnement... Un coup de foudre, un timbre qui m'a touchée. De la créativité, de l'humour, de la douceur, de la séduction. Mais de la pub, pour elle, aucune. Alors je l'ai raté, ce disque sorti en 2003... Mais il n'est pas trop tard. Il est différent des autres, ce CD. Mais sa plume est toujours poétique et aiguisée. Sur Ioutioube je n'ai pas trouvé de clip à vous faire découvrir. Dommage ! Musicalement, je préférais peut-être ses précédents CD, mais sa voix me semble-t-il a trouvé sa stabilité, et son ton. Heureusement sur le web il y a des gens pour tenir un discours différent, et qui dure. Contrairement à un Télérama et son entrefilet de deux lignes, que l'on jette à la fin du mois, ici, on clique sur Goût-Gueule et on peut dénicher sa bio, un super article, et on l'enregistre, et on le relit tout en écoutant ses mots. Si vous la croisez ou apercevez son nom sur une affiche, ne la manquez pas !

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Cliquez sur sa photo !
Post-scriptum : hier mes élèves n'ont pas su trouver l'expression "disques noirs" ou "vinyl"... Ils ont dit "vous savez, les grands disques". Le CD date de 1984, j'ai eu mon premier lecteur de CD en 1988 !

mercredi, 08 novembre 2006

Du ciné pour changer

Pour faire plaisir à la promeneuse de la route du cinéma qui s’est écartée de son chemin pour quelques jours…

 

The Queen est un film anglais. Rien que ça, je suis preneuse. Stephen Frears. Un atout de plus. (Mon préféré, celui qui me l’a fait découvrir, My Beautiful Launderette). Mais avec The Queen on touche à la perfection. Cela doit sans doute être dû au protocole rigoureux…

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Frears s’en moque, mais l’explique, et ne le ridiculise pas. Tout l’humour anglais est là. Clairvoyant et insolent, mais pas vindicatif. Beaucoup d’anglais sont choqués de ce que coûte la Famille Royale , mais la révolution n’est pas pour demain. Tout est filmé du point de vue d’Elizabeth II, personnage auquel je pensais ne jamais pouvoir m’identifier. Mais je me suis retrouvée au cœur du duo/duel entre elle et Blair, et à la fin du film, j’ai dû m’admettre qu’Elle m’était plus sympathique que Lui.

 

Rassurez-vous je ne suis pas devenue royaliste, ni une fan d’Elizabeth II pour autant. J’ai ri souvent. Et je n’ai pas été émue par ses larmes d’auto-compassion quand elle voit ce cerf traqué dans la campagne majestueuse écossaise. Ni quand elle contemple le cadavre de ce cerf qui lui évoque sa propre chute, ou plutôt celle de la royauté. Je n’ai pas non plus cédé à l’émotion de la foule pleurant sa princesse, pauvre petite fille riche mal-aimée… Ce qui m’a touchée c’est l’impossibilité d’exprimer le moindre sentiment humain d’une mère envers son fils et le désarroi de Charles, son incapacité à prendre la moindre initiative. Ce qui m’a révoltée c’est de voir une femme voler à ses enfants et ses petits-enfants le droit de vivre leurs émotions, comme on le lui a certainement volé dans sa jeunesse, en lui faisant par exemple épouser Philip, personnage bête, « shallow » dans le texte, égoïste, et la liste d’adjectifs serait longue…

 

Le film est didactique aussi et nous apprend beaucoup de choses sur le protocole, nous fait découvrir des lieux où nous ne sommes pas près d’aller, et nous fait comprendre l’utilité de cette monarchie constitutionnelle pour l’unité et l’avancée du pays, quoi que nous en pensions de l’autre côté de la Manche. Il y aura des réformes fiscales, il y en a déjà eu, mais ils garderont leurs souverains.

 

Et Frears se délecte à faire annoncer à Blair par la reine, sa chute de popularité actuelle. Un petit règlement de compte politique délicieux. Je me demande encore d’ailleurs si il nous a montré une Chérie Blair sympathique, parce que comme nous, ou ridicule, parce qu’arrogante.

 

Un petit mot sur les acteurs pour finir. Frears n’a eu qu’à se servir pour la reine et Blair puisque les deux acteurs avaient déjà joué ces rôles pour la BBC , mais cela n’enlève rien à leur performance. Ils sont parfaits et crédibles. Le Prince Charles aussi, mais lui, est loin d’être un sosie. Le casting des oreilles a dû être un casse-tête !

 

 

09:46 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (23)

lundi, 09 octobre 2006

L'oeil grand ouvert toute la nuit

Samedi soir 1.5 million de personnes ont marché ou circulé à vélo dans Paris, tranquillement, découvrant un peu comme dans une chasse au trésor des projections, sculptures, performances, diverses et variées. Quand la beauté d'hier est revisitée par l'étrange et le novateur d'aujourd'hui, et que rien ne stresse personne, la nuit devient magique. medium_100_1499.JPG

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C'était ma première Nuit Blanche, mais pas la dernière !

vendredi, 29 septembre 2006

Les anglais aiment le cinéma français

Aujourd'hui en plus de la brochure papier glacé envoyée à grands frais par Robi 1 alors qu'elle ne contient que des infos déjà parues dans le B.O. qu'on peut consulter sur le net pour pas un kopek, j'ai trouvé le numéro d'octobre 2006 de Sight and Sound, une revue Britannique de cinéma.

J'aime beaucoup cette revue parce qu'elle sépare bien la critique du synopsis, et elle est très éclectique. Les journalistes se réjouissent toujours de prendre du plaisir dans un film quel que soit le genre. Exemple : page 77, Profils paysans Chapitre 2 Le Quotidien de Raymond Depardon, et page78, Shut Up ! (Tais-toi !) de Francis Weber, avec Depardieu et Reno. Et ils ont adoré les deux. En sachant bien sûr les placer chacun dans leur catégorie, mais sans chercher l'intellectualisme à tout prix.

Their last sentence about Shut Up ! "There may be little to surprise in Shut Up !, but there is plenty to delight."

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20:30 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (20)

vendredi, 15 septembre 2006

T'as pas sept balles ?

J’aime les jongleurs.

Ce sont des artistes, des magiciens, des sportifs, des yogis…

Un jongleur cherche toujours à se surpasser mais jamais à « tuer » un adversaire.

Un jongleur n'a pas de supporters, mais des admirateurs.

Il partage ses secrets et essaie toujours de faire progresser les fondus qui partagent sa passion.

Plus de trois jongleurs dans une pièce et c’est la magie.

Les jongleurs sont sympas, ne se prennent pas la tête et ne la prennent pas grosses non plus.

Mon chouchou, c’est Jérôme Thomas. Depuis quinze ans j’ai du le croiser 4 ou cinq fois, et à chaque fois c’est l’émerveillement.medium_jongl2.jpg

Ses balles volent, rebondissent, dansent ou jazzent et je suis scotchée, sidérée, hypnotisée, tant elles font partie de lui sans jamais se poser vraiment.medium_jongl1.jpg

Et quand le spectacle est fini, ce génie de la jongle boit une bière avec nous, jongleurs ou non, du moment qu’on aime…..

Si vous voulez connaître ces moments magiques, ces gens si faciles à rencontrer, qui semblent ignorer ce que violence ou agressivité veulent dire, rendez-vous à une de leurs conventions.

Il faut vivre ça une fois.medium_image01.jpg

 

 

 

 

 

 

 

Dans le cadre de la journée du Patrimoine, on fait parler les nobles à la radio. Ce matin l'un d'entre eux Monsieur de la Goulaine ou quelque chose comme ça, nous tirait des larmes en expliquant que c'est un tel calvaire d'être propriétaire d'un immense château, que parfois il préférerait être sous une tente. (Je ne sais pas si l'orthographe est celle qu'il envisageait ...) Je confirme : je préfère les jongleurs aux châtelains désargentés.

16:10 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : cirque, jonglage, art, culture

mardi, 29 août 2006

Film déjanté

 

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L'autre jour j'ai regardé un film intitulé "Beyond Therapy" de Robert Altman. It's beyond words... Comme disent les cinéphiles avertis, c'est un film "choral", comme Altman les aime (je me souviens d'avoir adoré Short Cuts). Et vu la date de création (1987), ça me fait dire à Nico que Magnolia avait déjà "pompé". Le film "choral", c'est un genre, le but n'est pas d'avoir été le premier à l'illustrer.

Ici les personnages sont fous dingues, psys et patients confondus. Ils se croisent et se décroisent dans le cadre d'un restaurant français et c'est l'occasion de déclinaisons sur les clichés que les Ricains ont sur les Français, et j'ai forcément eu une pensée pour notre Iowienne préférée !

Les deux acteurs principaux sont Jeff Goldblum qui sauvait le monde avec sa calculette dans "Independence Day" et Julie Hagerty, qui était l'hôtesse de l'air romantique et pleine d'algues après une effusion de sentiments sur la plage... dans "Y a-t-il un Pilote dans l'Avion", et qui n'a pas fait d'effort pour améliorer sa coiffure !

Il y a aussi Cris Campion, un acteur français que j'avais adoré dans Fortune Express en 1990, et plein de clichés sur la psychanalyse et l'homosexualité tournés en dérision et frisant l'extrême. Sur les gays, y'en a même qui seraient capables de ne plus trouver ça "politiquement correct" aujourd'hui, dans notre monde culturel que l'on essaie de nous aseptiser de plus en plus. Et un "happy end" freudien.

Je me suis bien marrée. Mais si vous croisez ce film, il faut absolument le voir en VO ! D'ailleurs, le dvd n'est qu'en anglais avec les sous-titres si on a envie.

11:35 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (18) | Tags : Cinéma

mardi, 25 juillet 2006

Pourquoi il faut aller à Chalon et à Aurillac !

Chalon dans la rue, c'est aussi des centaines, voire des milliers d'intermittents du spectacle qui nous offrent du bonheur, un regard critique sur notre société,  de la beauté, de la surprise, et qui nous font rire et pleurer, gratuitement ! Les répliques évoluent, se politisent, se durcissent, c'est moins triste qu'il y a deuxans, mais plus trash et insolent : le clown qui pose une question au public, "J'entends ceux qui disent non, mais j'entends aussi ceux qui disent oui !", un autre se "trompe" de cassette dans le magnéto de fortune et on entend une phrase d'une vieille chanson de Renaud "La France c'est un pays de flics, à tous les coins de rue y'en a 100..." C'est un bijou ce festival et j'espère qu'il continuera à exister sans être parasité par le snobisme, assassiné par la fin de l'intermittence, karcherisé par les arrêtés anti-mendicité du maire de la ville...medium_100_1287.JPG

(Pour en savoir plus sur le susdit arrêté : http://recit.net/article.php3?id_article=679)

Les Hélopiés, déambulation anti-fric !

La Compagnie La Belle Pagaille qui en riant dénonce une société où l'on décérébre et rectifie tous ceux qui ont des pensées non conformes à celles du "Grand Commanditaire", avec des machines ingénieuses.medium_100_1309.JPG

Le Clown Dado de Montreal, à la fois gore, drôle, émouvant et tendre, avec ses bosses et son grand manteau qui lui servent de nez.medium_100_1301.JPG

medium_100_1318.JPGLes Souricieuses, pros du chant, de la poésie et de l'humour.

 

 

 

Et d'Italie, des qui osent tout dire, tout faire, même découper des barbies à la tronçonneuse !, qui ont une idée très claire de l'état de la démocratie dans leur pays, et du risque qu'elle court dans les autres, le Tony Clifton Circus, avec leur spectacle à consommer sans modération : Rubbish Rabbit.

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Et même si vous ne vous arrêtez pas parce que ça manque d'ombre, devant la terrasse où vous consommez votre demi, vous voyez passer des personnages étonnants que vous n'oublierez pas.
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lundi, 24 juillet 2006

Voici où j'étais ce weekend !

 

 

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J'ai découvert les festivals de spectacles de rue (Aurillac, puis Chalon sur Saône il y a environ quinze ans. J'y vais tous les ans ou presque. Et j'ai de la chance parce qu'ADMV adore aussi. Cette année, c'était les vingt ans du Festival "Chalon dans la Rue". Alors on voulait pas rater ça.

Bon je ne sais pas si c'est la chaleur, ou l'âge, ou le Tour de France qui passait au Creusot Samedi, ou simplement l'évolution des choses, mais il m'a semblé que les rues n'étaient pas aussi animées que les autres années.

Et puis je comptais sur le final. Tous les ans le dimanche soir se termine sur un final spectaculaire et visible par tous. Défilé de monstres, ou d'objet extravagants géants, feu d'artifice grandiose, jeux de lumières ou de feux sur les rives de la Saône... Hier soir donc à 21h30, j'attendais avec tout le monde sur les quais. Je faisais partie des spectateurs assis. On nous a distribué des espèces de trucs à étincelles avec la consigne de les enflammer au coup de canon ! Puis des acteurs se sont lancés des pseudos ordres et messages par mégaphones le long de la Saône. C'était censé être drôle. Enfin la mise à l'eau eut lieu, des objets rappelant des compagnies venues au cours des 20 dernières années, nous avait annoncé le journal local.

Ce qui s'est réellement passé : Au début il y eut quelques coups de sirènes que certains ont dû confondre avec des coups de canon et tout le monde s'est mis à enflammer les trucs à étincelles, puis nous avons vu dans le noir dériver des flotteurs avec dessus des objets pas éclairés qui faisaient penser que l'on se débarrassait du contenu de la déchetterie de Chalon. Il y a eu des feux de bengale allumés juste au-dessus de nous, sans protection et tout le monde avait la trouille de finir cramé. Un minuscule feu d'artifice au bout de la pointe de l'île en face de nous. Et les obéissants comme nous sont repartis avec les étincelles non allumées parce que nous n'avons jamais entendu de canon ! Chic, je vais pouvoir les utiliser pour mon anniversaire !!!

En repartant à la voiture on a failli se faire assommer par d'énormes barrières en métal qui barraient l'unique pont d'accès au parking. Un panneau nous a dit que c'était pour des raisons de sécurité, sans doute écrit par les mêmes qui ont autorisé les feux de bengale à 50 cm de la tête des spectateurs !!!

Bon, demain je vous dirai pourquoi il fallait quand même y aller à Chalon, et pourquoi vous pouvez y aller l'an prochain, et avant aller traîner vos guêtres à Aurillac aux environs du 20 août.

Post-scriptum : la dame blonde, bronzée, arborant fièrement le t-shirt du festival, originaire de Marseille, qui hurlait dans son portable vers 19 h 30 à la terrasse du café où nous étions, et qui a passé au moins 20 coups de fils "par hasard" pour dire aux gens qu'elle connaissait qu'elle avait bossé sur l'organisation de ce final, qu'elle était responsââble de cet évêêênement, doit se faire discrète aujourd'hui : la presse Chalonnaise n'a apparemment pas été très enthousiaste...

jeudi, 20 juillet 2006

POUR VOUS AIDER A TROUVER LA PRECEDENTE...

MON PREMIER FABRIQUE DE L'ETOFFE.

MES PETITS DEUXIEMES NE SONT PAS SI COURTS QUE CA.

MON TOUT EST UNE DE MES BLOGUEUSES PREFEREES (SI, SI, ELLE LE MERITE PAS TOUJOURS, MAIS QUAND MEME !)

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dimanche, 16 juillet 2006

COMPARAISON

Comme on est dans la peinture (j'aurais aimé faire un tour par la musique, mais je n'ai pas trouvé comment télécharger La Danse du Sabre pour Marianne...), voici deux tableaux qui ont un certain point commun. Qu'en pensez-vous?

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18:10 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : art

Donc...

Je vois que tout le monde aurait préféré que je choisisse celui-ci :

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J'ai visité son musée, son atelier lors de mon premier séjour aux USA et c'est resté un de mes meilleurs souvenirs.

16:38 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (10) | Tags : culture, art

samedi, 15 juillet 2006

ANDREW WYETH

A la demande générale, voici une petite note pour vous faire mieux connaître Andrew Wyeth.

Deux portraits trouvés sur le web :

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Et son tableau le plus connu, que l'on trouve dans plein de manuels scolaires :

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Il est né en 1917 et à ma connaissance est toujours vivant.

23:05 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (17) | Tags : art, culture

jeudi, 06 juillet 2006

OYEZ BONNES GENS !

Mes potes de Zafou'rire, m'ont envoyé un mail ce matin pour que je dise à tous les gens sympas que je connais qu'il y a autre chose à faire que de regarder le foot dimanche soir. Je suis contente parce que j'avais fait ma première note avant leur mail.

Pour vous donner envie de faire le voyage :

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Et puis à Poët, il y a un camping très sympa, et pour les riches un hotel classé dans les Relais et Châteaux. Bref, vous pouvez tous y aller !!!

Je vous rappelle le lien pour tous les renseignements : http://www.zafourire.com/zafou_info.php